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À l’occasion de Pâques et de la fête de la Miséricorde Divine, les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde souhaitent à tous les Bienfaiteurs, les Collaborateurs soutenant ses œuvres apostoliques, ainsi qu’aux Internautes visitant les sites de la Congrégation et le groupe : Sanctuaire de la Miséricorde Divine sur Facebook, un rencontre joyeux avec le Seigneur ressuscité et miséricordieux. Il apporte la paix que le monde ne peut pas donner, il remplit les cœurs de son amour et bénit toujours, comme sur le tableau qu’il a fait peindre. Nous souhaitons aussi toutes les grâces, et pendant la fête de la Miséricorde, de tirer profit de cette grande promesse de Jésus qui est la rémission complète des péchés et des punitions. Joyeuses Pâques !!!

Dans l’Église catholique, le Samedi Saint est un jour de deuil après la crucifixion de Jésus-Christ. Dans les églises et les chapelles, auprès du « Tombeau du Seigneur », nous adorons Jésus dans le Saint-Sacrement, en le remerciant pour le travail de la rédemption et des grâces reçus sur la croix pour notre salut, et nous prions pour la miséricorde pour nous et le monde entier. Dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, dès le matin, des aliments sont bénis pour la table de Pâques. À 15h00,  la prière à l’heure de la Miséricorde est célébrée avec la neuvaine avant la fête de la Miséricorde Divine, puis la célébration de la descente de Notre Seigneur Jésus-Christ aux enfers. Le soir, donc à 20h00, devant la basilique, les rites de la Veillée pascale se commencent avec l’Eucharistie où pendant la liturgie les vœux du baptême sont renouvelés.

Ils se produisent dans le confessionnal, parce que c’est le passage de la mort du péché vers la vie. Jésus a dit à Sainte Faustine : Dis aux âmes où elles doivent chercher la consolation, c’est au tribunal de la miséricorde; c’est là qu’ont lieu les plus grands miracles qui se renouvellent sans cesse. Point n’est besoin, pour obtenir ce miracle de faire de lointains pèlerinages, ni de faire étalage d’un quelconque cérémonial, mais il suffit de se jeter avec foi aux pieds de celui qui tient ma place, de lui dire sa misère et le miracle de la miséricorde divine se manifestera dans toute sa plénitude. Même si cette âme était en décomposition comme un cadavre, et même si humainement parlant il n’y avait plus aucun espoir de retour à la vie, et que tout semblait perdu, il n’en est pas ainsi selon Dieu, le miracle de la miséricorde divine redonnera vie à cette âme dans toute sa plénitude. Ô malheureux, qui ne profitez pas maintenant de ce miracle de la miséricorde divine. En vain, vous appellerez, il sera déjà trop tard (Petit Journal 1448). Dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, les prêtres sont en service dans le confessionnal tous les jours, dans la basilique de 8h00 à 18h00. Pendant la Semaine Sainte, les confessionnaux étant surpeuplés, il est déconseillé de reporter la confession aux derniers jours avant Pâques.

Confiance. C’ est cette incrédulité envers ma bonté qui me blesse le plus. Si ma mort ne vous a pas convaincues de mon amour, qu’ est-ce qui vous en convaincra ? (PJ 580), Jésus, s’est plaint à Sainte Faustina. Sa vie, son enseignement et ses miracles ont révélé au monde la bonté de Dieu, son amour miséricordieux. Et pourtant, il est difficile pour nous de faire confiance à Dieu, tant la blessure de méfiance du péché originel et de nos péchés personnels est profonde. Soeur Faustine ouvre les rideaux du ciel et nous fait connaître plus profondément l’amour miséricordieux de Dieu, la plus révélée par la soffrance et la mort de Jésus. Cette connaissance génère et développe en nous une attitude de confiance qui s’exprime en faisant la volonté de Dieu, contenue dans les commandements, la parole de Dieu, les devoirs ou l’inspiration du Saint-Esprit. La volonté de Dieu, comme disait Sainte Faustine, est pour nous la miséricorde, c’est pourquoi elle l’accomplissait fidèlement et priait ainsi: Si tu m’emportes en pleine jeunesse, sois béni. Si tu m’ accordes de vivre jusqu’ à un âge avancé, sois béni. Si tu me donnes santé et force, sois béni. Si tu me cloues sur un lit de souffrance, même pour toute ma vie, sois béni. Si tu ne me donnes dans la vie que des échecs et des déceptions, sois béni. Si tu permets que mes intentions les plus pures soient blâmées, sois béni. Si tu accordes de la lumière à mon esprit, sois béni. Si tu me laisses plongée dans les ténèbres et dans toutes sortes de tourments, sois béni. Depuis ce moment, je vis dans une paix très profonde, car le Seigneur lui-même me porte dans ses bras. Lui, le Seigneur d’ infinie miséricorde, sait bien que je ne désire que lui seul en tout, toujours et partout (PJ 1264).

Accomplir la volonté de Dieu est non seulement une expression de confiance en Dieu, mais nous libère de la peur, de l’orgueil et de l’égoïsme, apporte paix et joie, nous permet de vivre plus pleinement dans la liberté des enfants de Dieu et de participer à la vie et à la mission de Jésus. C’est le moyen le plus court de s’unir à Dieu dans l’amour.

Le seul jour de l’année où il n’y a pas de l’Eucharistie car le sacrifice le plus parfait de lui-même a été fait au Golgotha par Jésus-Christ. La source de ma Miséricorde a été largement ouverte par la lance sur la Croix pour toutes les âmes: Je n’exclus personne ! (PJ 1182), a dit Jésus à Sainte Faustina pendant l’une des nombreuses révélations associées à sa passion. Le Vendredi saint, dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, d’une manière particulièrement solennelle, la prière au moment de l’agonie de Jésus sur la croix (Heure de la Miséricorde) est célébrée à 15h00, ainsi que la neuvaine avant la fête de la Miséricorde (transmission à: www.soeurfaustinae.fr. Après la neuvaine, env. 15h30, la messe du chemin de la croix sera célébrée. La Liturgie de la Passion du Vendredi commencera dans la basilique à 18h00. Après l’adoration de la Croix et la Sainte Communion, la procession eucharistique partira au Saint-Sépulcre qui est traditionnellement préparé dans le couvent, dans la chapelle de la Passion. Là, il y aura une adoration continuelle de Jésus dans le Saint Sacrement qui commencera par la prière « Regrets amers ». Le jeûne strict et l’abstinence de la viande sont obligatoires le Vendredi saint.

Le Jeudi Saint est un jour d’action de grâces au Dieu miséricordieux pour le don du sacerdoce et de l’Eucharistie. En cette heure de prière Jésus me permit d’entrer dans le Cénacle, écrit la sœur Faustine de son expérience mystique,  et j’assistai à ce qui s’y passait. Je fus très émue quand, avant la consécration, Jésus leva les yeux au ciel et entra dans une mystérieuse conversation avec Son Père. Ce n’est que dans l’éternité que nous comprendrons ce moment-là.. Ses yeux étaient comme deux flammes, Son visage rayonnant, blanc comme la neige, toute Sa personne empreinte de majesté. Son âme pleine de lassitude, se reposa au moment de la consécration : l’amour était assouvi, le sacrifice pleinement accompli. Maintenant il ne restait plus que la cérémonie extérieure de la mort à accomplir, la destruction extérieure. L’essence est au Cénacle (PJ. 684).

Dans le Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Lagiewniki, le Jeudi saint (le 6 avril de cette année), à 18h00, la Messe en la Cène du Seigneur sera présidée par l’évêque Jan Zajac, gardien honoraire du Sanctuaire. La liturgie du Jeudi saint sera terminée par la procession avec le Saint Sacrement au reposoir qui se trouve traditionnellement dans la chapelle du couvent avec le tableau miraculeux de Jésus Miséricordieux et le tombeau de Sainte Faustine. L’adoration de Jésus dans le reposoir va durer toute la nuit.

C’est le thème de la retraite qui se tiendra au Sanctuaire de la Miséricorde Divine à Cracovie-Łagiewniki du 22 au 24 mars. Elle sera guidée par les paroles de Sainte Faustine écrites dans son Petit Journal : « Jésus, fais de moi ce qui te plaît ; je sais que tu es le Sauveur miséricordieux » (PJ 854). Dans une atmosphère de silence et de prière, les participants à la retraite découvriront la beauté du visage de Jésus Miséricordieux à travers les noms qu’utilisait l’Apôtre de la Miséricorde Divine ou qu’il lui présentait. Les guides seront sœur Emanuela Gemza de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, présidente de l’association « Faustinum », et le père Krzysztof Kowal MS, directeur spirituel en charge du postulat des Salétins.

Du 22 au 24 mars. au monastère des Carmes Déchaux à Lorinčík près de Kosice dans le sud de la Slovaquie, il y aura une retraite pour les filles et les femmes, sur le thème : « Je ne vous quitterai jamais et je ne vous abandonnerai jamais » (Hé 13, 5). Elle sera dirigée par le Père Andrej Valent OCD et la sœur M. Benediktína Fečová ISMM de la communauté de Kosice de la Congrégation de Notre Dame de la Miséricorde.

Le 24 mars de cette année est le dimanche des Rameaux qui commence la Semaine Sainte. Ce jour-là, pendant les Messes, la description évangélique de la Passion de Jésus est lue. L’eucharistie est précédée d’une procession avec des rameaux ou tout simplement de la bénédiction des rameaux pour commémorer l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem. Les rameaux sont un symbole de la relance de la vie de Dieu dans les âmes des fidèles. Au sanctuaire de Cracovie-Lagiewniki, la procession solennelle avec des rameaux et l’évêque Jan Zajac, des prêtres, sœurs et fidèles sort de la chapelle avec le tableau miraculeux de Jésus Miséricordieux et le tombeau de Sainte Faustine à 10h15 et va à la basilique où l’eucharistie sera célébrée. La description évangélique de l’entrée solennelle de Jésus à Jérusalem complète en quelque sorte l’expérience mystique de Sainte Faustine qui a écrit dans le « Petit Journal » : Je vis Jésus assis sur un ânon, suivi de ses disciples. Une foule immense, joyeuse, l’accompagnait. Tenant des branches à la main, les uns les jetaient au pied de là où passait le Seigneur Jésus ; d’autres les brandissaient en l’air, sautant et criant devant le Seigneur, ne sachant que faire tant était grande leur joie. Je vis aussi une seconde foule de gens qui sortaient à la rencontre de Jésus. Ils avaient des mines réjouies, et, tenant des branches à la main, ils ne cessaient de crier de joie. Il y avait là aussi des petits enfants. Mais Jésus était très sérieux et Il me fit connaître combien Il souffrait pendant ce temps.  Alors je ne vis plus rien, seulement Jésus dont le Cœur était saturé par l’ingratitude des hommes (Petit Journal 642). Jésus m’a fait connaître combien il a souffert durant ce cortège triomphal. En écho à l’Hosanna, résonnait dans le Cœur de Jésus : « crucifie-Le ! » Jésus m’a fait ressentir ce la de façon particulière. (Petit Journal 1028).

Les 21 et 23 mars, dans la paroisse Saint Antoni Padewski de Lipinki Łużyckie et dans les églises annexes de Boruszyn et Pietrzykow (diocèse de Zielona Góra-Gorzów), une retraite de carême sur la miséricorde Divine et humaine pour les enfants, les jeunes et les adultes se tiendra. Sur la base de la parole de Dieu et l’héritage spirituel de Sainte Faustine, telle qu’elle est décrite dans son Petit Journal, elle sera animée par sœur Leonia, sœur Rachela et sœur Mariam de la communauté de Plock de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde.

Du 18 au 22 mars prochain, la paroisse Notre-Dame de Czestochowa de Cracovie – Nowa Huta organisera une retraite pour les enfants de trois écoles primaires (n° 88, 91, 105) sous la devise : « Explorateurs du trésor enfoui ». Elle sera animée par sœur Maria Faustina et sœur Tobiana de la communauté de Cracovie de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, sur la base de la parole de Dieu et de l’héritage spirituel de Sainte Faustine.

L’importance des choix quotidiens. Peut-être ne réalisons-nous pas à quel point beaucoup de choses dépendent de nos choix quotidiens, de prendre la croix pour chaque jour et de suivre les traces de Jésus. En fait, ici dans la vie terrestre, nous décidons de tout: non seulement de ce qui compte pour la vie personnelle, familiale, professionnelle, sociale, nationale … mais surtout pour la vie éternelle. Nous vivons sur terre uniquement pour apprendre l’amour, car toute éternité consiste en l’amour. Et dans l’art d’aimer, il y a une croix de supporter la souffrance, de pardon, de sacrifices … Jésus a ainsi instruit Sœur Faustine de l’importance pour la vie éternelle de la capacité de porter la croix.

Aussitôt, j’ai vu le Seigneur Jésus cloué sur la croix. Jésus était sur la croix depuis un moment, lorsque j’ ai vu toute une légion d’ âmes crucifiées comme lui. Et j’ ai vu une 284 petit journal deuxième légion d’ âmes, puis une troisième. Les âmes de la seconde légion n’ étaient pas clouées sur la croix, mais tenaient fermement leur croix en main. Les âmes de la troisième légion n’ étaient pas crucifiées et ne tenaient pas non plus fermement leur croix en main, mais elles traî­naient leur croix derrière elles et elles étaient mécontentes. Et Jésus m’ a dit : « Tu vois, les âmes qui me ressemblent dans la souffrance et dans le mépris me ressembleront aussi dans la gloire ; et celles qui sont moins semblables à moi dans la souffrance et dans le mépris me seront aussi moins semblables dans la gloire (PJ 446).

Les 16 et 20 mars, dans la paroisse de la Miséricorde Divine à Żary (diocèse de Zielona Góra-Gorzów), une retraite de carême sur la miséricorde Divine et humaine pour les enfants, les jeunes et les adultes se tiendra. Sur la base de la parole de Dieu et l’héritage spirituel de Sainte Faustine, telle qu’elle est décrite dans son Petit Journal, elle sera animée par sœur Leonia, sœur Rachela et sœur Mariam de la communauté de Plock de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde.

Du 15 au 17 mars, une retraite sur la dignité de la femme se tiendra à la paroisse des Saints Pierre et Paul à Chkalovo sous la devise : « Fille, je te dis, lève-toi ! ». Elle sera animée par sœur Anastasis Omelchenko de la communauté de Petropavlovsk de la Congrégation de la Mère de Dieu de la Miséricorde, sœur Kazimiera Wanat et sœur Madlen Hofmann. Au programme : rencontre avec la parole de Dieu, conférences, ateliers.

Le 17 mars, une journée de recueillement de carême aura lieu à la paroisse Sainte Marguerite d’Antioche à Plavči et à la branche de Kozelec (nord-est de la Slovaquie), animée par les sœurs de la communauté de Kosice de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde. Outre les conférences, le programme comprenait également le Chemin de croix, la prière de l’Heure de la Miséricorde et le Chapelet de la Miséricorde Divine, ainsi que la vénération des reliques de Sainte Sœur Faustine Kowalska.

Avant la fête de Saint Joseph, depuis le 10 mars, une neuvaine à St Joseph est traditionnellement célébrée dans tous les couvents de la Congrégation des Sœurs de Notre Dame de la Miséricorde.

Saint Joseph est l’un des saints patrons de la congrégation et fait l’objet d’une grande vénération depuis le début. Ses portraits ornent toutes les chapelles monastiques. Le plus souvent, il a un autel séparé sur le côté droit du presbytère, comme dans le sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Łagiewniki. Ses statues se trouvent dans les couloirs du monastère, les cellules monastiques, les lieux de service apostolique, ainsi que dans les jardins et les cours du monastère. Il est le propriétaire de chaque propriété, maison et monastère, et a donc tout sous sa responsabilité, non seulement les affaires matérielles, auxquelles il est le plus souvent associé, mais aussi, et peut-être surtout, les affaires spirituelles des communautés de notre Congrégation et les œuvres qu’elles réalisent. Les religieuses l’appellent « Protecteur » et « Père » et s’adressent ainsi à lui dans leurs prières, certaines que « jamais on n’a entendu dire que quelqu’un qui a fait appel à ses soins et imploré son aide ait été laissé sans consolation ». Ils envoient des « télégrammes » sur des questions urgentes, énumérant des problèmes très spécifiques qui doivent être traités.

Prendre soin de la conversion des pécheurs. C’est le plus grand acte de miséricorde, car il prend en compte le bien éternel de l’autre personne. Sœur Faustine, à l’instar de Jésus, a même, dans cette intention, sacrifié sa vie. Au cours d’expériences mystiques, elle a connu le ciel, le purgatoire et l’enfer et disait donc qu’aucun sacrifice n’était trop grand pour sauver un homme pour l’éternité. Jésus l’a invitée – et à travers elle aussi nous – à coopérer à l’œuvre de salut des pécheurs, même de ceux pour qui, humainement, il n’y a pas d’espoir. Il a demandé à plusieurs reprises: Combien je désire le salut des âmes ! Ma fille, aide-moi à sauver les âmes. Joins tes souffrances à ma Passion et offre-les au Père céleste pour le salut des pécheurs (P. J. 1032). La perte de chaque âme me plonge dans une tristesse mortelle. Tu me consoles toujours, quand tu pries pour les pécheurs. La prière qui m’ est la plus agréable est la prière pour la conversion des âmes pécheresses. Sache, ma fille, que cette prière est toujours exaucée (P. J. 1397).

Soeur Faustine répond avec générosité à l’invitation de Jésus: Jésus, je désire amener les âmes à la source de ta miséricorde, afin qu’ avec le vase de la confiance, elles y puisent l’ eau vivifiante de la vie. Plus l’ âme désire la miséricorde divine, plus la confiance avec laquelle elle se tourne vers Dieu doit être grande, et, si sa confiance en Dieu est sans limite, la miséricorde de Dieu pour elle sera également sans limite. Ô mon Seigneur, tu connais chaque battement de mon coeur, tu sais avec quelle ardeur je désire que tous les coeurs ne battent que pour toi, afin que toutes les âmes glorifient la grandeur de ta miséricorde (P. J. 1489).

Une journée de recueillement de Carême aura lieu le 15 mars à la paroisse  Saints Cyril et Methodius à Terchová, dans le nord de la Slovaquie. À l’initiative des membres locaux de l’association Faustinum, la journée de recueillement sera animée par sœur M. Blanka Krajčíková de la communauté de Kosice de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde. Outre la conférence, le programme comprend également le chemin de croix commun et la vénération des reliques de Sainte Sœur Faustine Kowalska.

Une journée de recueillement de Carême sera organisée le mardi 12 mars pour les enfants de l’école primaire catholique István Széchenyiho à Füzesabony, Hongrie. La conférence sur le thème de l’amour miséricordieux de Dieu envers nous et sur la manière de vivre le Carême par Sœur Faustine sera donnée et la journée de recueillement sera animée par sœur M. Hedvig Uličná de la communauté de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde à Nizhny Hrušov, en Slovaquie.

Ce service, dans lequel nous contemplons la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ, nous permet de découvrir et d’explorer l’amour miséricordieux de Dieu à l’homme, d’apprendre l’attitude de confiance en Dieu en toute situation, aussi difficile et douloureuse, et l’attitude de miséricorde envers nos proches. Jésus a pris nos péchés sur lui et il a souffert la mort ignominieuse pour chacun de nous… et est ressuscité pour que nous ayons la vie en nous-mêmes et en profitions maintenant et pour toujours.

Le vendredi, au Sanctuaire de la Miséricorde Divine, le chemin de croix commun est célébré dans la basilique à 16h00, tandis que dans la chapelle avec le tableau miraculeux de Jésus Miséricordieux et le tombeau de Sainte Faustine à 19h00, à l’exception du premier vendredi où le chemin de croix sera célébré à 18h15 (transmission en ligne à l’adresse : www.soeurfaustine.fr).

Oeuvres de miséricorde. C’est le Carême que Dieu veut. Cet événement de la vie de Sainte Soeur Faustine nous en convainc.

Le médecin ne m’a pas permis de me rendre à la Chapelle pour le Chemin de croix, comme j’en avais le très grand désir. Cependant j’ai pu prier dans ma chambre séparée. Tout-à-coup, j’ai entendu la sonnette de la chambre voisine. J’y suis entrée et j’ai rendu service à un grand malade. De retour dans ma chambre, j’ai aperçu tout-à-coup Notre Seigneur Jésus, qui s’est adressé à moi en ces termes : « Ma fille, le service que tu viens de Me rendre, Ma causé une plus grande joie que si tu avais longuement prié. » J’ai répondu : « Mais ce n’est pas à Vous, ô Jésus, mais à ce malade que j’ai rendu service. » Le Seigneur m’a répondu : « Oui, ma fille, mais quoi que tu fasse pour ton prochain, c’est à Moi que tu le fais (PJ 1029).

Jésus a instruit Sainte Faustine – et à travers elle aussi nous – qu’il existe trois manières de faire du bien aux autres : l’acte, la parole et la prière. Il a dit : Ces trois degrés renferment la plénitude de la miséricorde. Voilà la preuve irréfutable de l’amour envers Moi. De cette manière, l’âme glorifie et honore Ma miséricorde (PJ 742). Il a demandé qu’au moins un acte de miséricorde soit commis au cours de la journée, mais par amour pour lui. C’est la seule richesse sur terre qui a une valeur éternelle. Cela nous rend beaux dans notre humanité et notre appel chrétien et riches envers Dieu.

Marie, Mère du Fils de Dieu, de la Miséricorde incarnée et Mère de chacun de nous. La plus belle dans l’amour de Dieu et des gens. Un modèle pour chaque fille, mère et personne consacrée. C’est pourquoi nous lui adressons nos prières de gratitude et nos demandes. Plus sur la plus belle femme, Mère de la Miséricorde de Dieu, sur son culte, son iconographie, sa liturgie et ses prières sur le site: www.soeurfaustine.fr

Sur la chaîne : Faustyna.pl, vous pouvez écouter les homélies dominicales du père dr hab. Józef Pochwat MS, aumônier de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Miséricorde au Sanctuaire de la Miséricorde Divine de Cracovie-Łagiewniki, conférencier, patrologue, auteur de nombreuses publications relatives à la vie et à l’héritage spirituel de Sainte Sœur Faustine. Ses homélies sont très appréciées des fidèles car, fondées sur la Parole de Dieu, elles illustrent de manière extrêmement vivante et précise les aides, les dangers et les obstacles au développement de la vie spirituelle des hommes d’aujourd’hui.

Transmission en direct de la messe les jours ouvrables à 6h30, les dimanches et jours fériés à 8h30 : You Tube, le site web faustyna.pl et toutes ses versions linguistiques, l’application Faustyna.pl, Radio Doxa d’Opole et Radio Droga de Vienne.

Sous ce titre, une retraite sur la dignité de la femme se tiendra du 1er au 3 mars à la paroisse du Sacré-Cœur de Jésus de Lisakovsk pour les femmes du doyenné de Kostanay au Kazakhstan. Elle sera animée par s Anastasis Omelchenko de la communauté de Petropavlovsk de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, s Kazimiera Wanat, s Madlen Hofmann et le père Hans Reiner. Le programme comprend la méditation de la parole de Dieu, des conférences et des ateliers.

Du 28 février au 1er mars, Sœur Terezjana et Sœur Tobiana de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde animeront une retraite de Carême pour les enfants de l’école primaire n° 221. La retraite aura lieu au Sanctuaire de Sainte Sœur Faustine, et leur thème sera : « Foi, espérance et amour à la lumière des « Messages de Miséricorde ».

Considération de la passion du Seigneur. Pendant le Carême, nous sommes plus susceptibles de considérer la souffrance de Jésus qu’il a entreprise par l’amour pour nous et pour notre salut. Nous participons au service du chemin de la Croix et ux regrets amers, nous lisons des textes de la Sainte Écriture annonçant et décrivant des événements pascals. Jésus a demandé sœur Faustine – et nous par elle e – qu’elle considère sa passion comme si elle l’avait été pour elle seule (voir PJ 1761). Il explique : Une heure de méditation sur ma douloureuse Passion a un plus grand mérite que toute une année de flagellation jusqu’ au sang. La méditation de mes douloureuses plaies t’ est d’ un grand profit et me donne une très grande joie. Je m’ étonne que tu n’ aies pas encore complètement renoncé à ta propre volonté, mais je me réjouis beaucoup de ce que ce changement se réalisera pendant la retraite (P. J., 369). Ma fille, médite souvent les souffrances que j’ ai subies pour toi, et, ainsi, rien de ce que tu souffres pour moi ne te semblera excessif. C’ est lorsque tu médites ma doulou­reuse Passion que tu me plais le plus. Unis tes petites souffrances à ma douloureuse Passion, afin qu’ elles ac­quièrent une valeur infinie devant ma majesté (P. J., 1512). Suite à ces indications de Jésus, sœur Faustine a profondément pénétré dans le mystère de l’amour miséricordieux de Dieu pour chaque être humain et a remercié Jésus pour le livre grâce auquel elle a appris à aimer Dieu et les hommes. Ce livre, c’ est ta Passion à laquelle tu t’ es livré par amour pour moi. Dans ce livre, j’ ai appris comment aimer Dieu et les âmes. Dans ce livre sont contenus pour nous des trésors inépuisables.  Ô Jésus, combien peu d’ âmes te comprennent dans ton martyre d’ amour! Ah ! qu’ il est grand, le feu du plus pur amour qui brûle dans ton coeur très saint ! Heureuse l’ âme qui a compris l’ amour du coeur de Jésus (P. J., 304).

La période du carême encourage la réflexion sur sa propre vie et son but. Que la vision extrêmement vivante de Sainte Faustine nous aide.

Un jour, j’ ai vu deux routes : la première était large, recou­verte de sable et tapissée de fleurs, pleine de gaîté, de mu­sique et de toutes sortes de plaisirs. Les hommes avançaient sur cette route en dansant et en s’ amusant et ils arrivaient au terme de la route sans s’ apercevoir que c’ était la fin. Or, au bout de cette route se trouvait un horrible gouffre : l’ abîme infernal. Les âmes y tombaient aveuglément; elles y tombaient comme elles marchaient, et elles étaient si nom­breuses que l’ on ne pouvait les compter. Puis j’ ai vu une autre route qui était plutôt un sentier étroit, semé de pierres et de ronces. Ceux qui marchaient sur ce chemin avaient les yeux pleins de larmes et la souffrance était leur lot. Certains d’ entre eux trébuchaient et tombaient sur les pierres, mais ils se relevaient aussitôt et continuaient à avancer. Et au bout du chemin se trouvait un jardin magnifique rempli de toutes sortes de bonheurs. Toutes les âmes y entraient et oubliaient immédiatement leurs souffrances. Un soir, en compagnie d’ une de nos soeurs, je suis allée (P.J. 153).

Quel est le but de ma vie ? Dans quelle direction vais-je ?

La conférence nationale annuelle sur la Miséricorde Divine se tiendra à Dublin du 23 au 25 février et sera organisée sur le thème : « Jésus, j’ai confiance en Toi ! ». Cette fois, sœur Mary Claire et sœur Donata, de deux communautés de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde aux États-Unis, y participeront et présenteront plusieurs exposés sur l’héritage spirituel de Sainte Sœur Faustine. L’événement sera retransmis en direct.

Une retraite pour les apôtres de la Miséricorde Divine se tiendra sous cette devise à la Maison de Retraite des Pères Paulins, au Sanctuaire de Notre-Dame de la Victoire à Brdów, du 23 au 25 février prochain. Le programme comprend l’eucharistie quotidienne, l’adoration du Saint Sacrement et des conférences permettant de mieux connaître la miséricorde de Dieu le Père. La retraite se déroule dans une atmosphère de silence et de recueillement, sans accès aux médias ou aux téléphones portables, afin d’entendre en silence les vibrations de l’Esprit de Dieu (PJ 145). La retraite est animée par sœur Maria Faustyna Ciborowska et sœur Emanuela Gemza du couvent de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde de Kraków-Łagiewniki.

Les 24 et 25 février, sœur Caterina Esselen, de la communauté de Washington de la Congrégation de Notre-Dame de la Miséricorde, participera à la Conférence annuelle de la Miséricorde Divine à Trinité, organisée sur le thème : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le ». À cette occasion, sœur Caterina partagera l’héritage spirituel de Sainte Faustine écrit dans son Petit Journal.